lundi 20 septembre 2021

Amnesty Saint-Dié au FIG - Conférence et table ronde 02 octobre 2021

FESTIVAL INTERNATIONAL DE GÉOGRAPHIE DE SAINT-DIÉ-DES-VOSGES

TOUT LE PROGRAMME ICI


Nous vous proposons : 

1 : une CONFÉRENCE : Samedi 2 octobre à l'INSIC de 10h30 à 11h15

" Le corps et le viol comme arme de guerre "

Avec Cécile COUDRIOU, présidente d'Amnesty International France



Comment Amnesty International lutte-t-elle contre le viol utilisé comme arme de guerre, cette violence à la fois physique, psychique et sociale, particulièrement destructrice ?

À travers des exemples – ex-Yougoslavie, République Démocratique du Congo, Syrie – cette intervention fera apparaître les spécificités de ce crime mais aussi des modes d'action utilisés par Amnesty International pour le combattre : recherche de terrain, campagnes et travail de plaidoyer, lutte contre l'impunité par le recours à la justice internationale. 

 

Éthiopie : le viol des femmes est devenu une arme de guerre - Photo © EDUARDO SOTERAS / AFP


Éthiopie : le viol des femmes est devenu une arme de guerre

Notre nouveau rapport révèle que des combattants des armées éthiopiennes et érythréennes ainsi que des forces de la région Amhara sont les auteurs de viols et d’autres violences sexuelles à l’encontre de centaines de femmes et de filles dans le Tigré. Le viol et l’esclavage sexuel constituent des crimes de guerre, voire des crimes contre l’humanité. Des atrocités devenues courantes dans le cadre de ce conflit.

En savoir plus : Rendez-vous ici sur le site Amnesty InternationalFrance

 

 2 : Une TABLE RONDE

Samedi 2 octobre de 13h30 à 15h / CINÉMA EMPIRE

" Géographie de la violence "

ÉCOUTER LA TABLE RONDE





 

Avec Cécile COUDRIOU, présidente d'Amnesty Internationale France, Eva SAN MARTIN, docteure en géographie sociale et formatrice en travail social animé par Marion TILLOUS, directrice scientifique du FIG21

Comment faire une théorie géographique de la violence ? De celle qu’exercent les États à celle dont certaines femmes sont victimes de la part de leur compagnon, il semble exister un point commun : la personne ou l’institution qui détient le pouvoir parvient à imposer une place à celles et ceux qu’elle soumet pour mieux asseoir son pouvoir. Partant de l’idée que toute violence fonctionne par réduction de la personne à son corps, nous discuterons de l’existence d’une “violence localisante”.

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