"10 JOURS POUR SIGNER " est un événement annuel et mondial d'Amnesty International, qui prend de
plus en plus d'ampleur chaque année
L'an passé nous avons recueilli 480 signatures à Saint-Dié et le record mondial a été largement battu puisque, dans 250 villes en France, dans 160 pays, le nombre total d'actions a été de près de 3.6 millions dont 600 000 en France
(Actions de pression ou de solidarité, signatures, courriers aux
autorités, messages aux personnes elles-mêmes) qui ont permis la
libération de prisonniers d’opinion.
Samedi 3 décembre 2016 à partir de 14 heures et jusqu'au départ du Défilé de St Nicolas,
nous vous attendons nombreux sur notre stand, rue THIERS - Passage du marché - afin de soutenir des " PERSONNES EN DANGER " en signant des pétitions en leur faveur.
Cette année nous appuierons nos efforts sur les trois cas suivants : Annie Alfred(Malawi), Les peuples autochtones de Peace River (Canada), et Shawkan (Egypte)
Vous pourrez bien entendu signer sur notre stand et en ligne sur le site d'AMNESTY INTERNATIONAL FRANCE pour ces trois cas ainsi que le sept autres présentés par Amnesty International.
les 5, 7, 11 et 14 novembre à 20h30 et le 13 à 18h
SIGNEZ LA PÉTITION ICI en Interpellant le Président de la République, François Hollande La crise des réfugiés est l’affaire du monde, de tout le monde. Au nom de la France, faites le choix de l’accueil.
« Fuocoammare, par-delà Lampedusa »,
soutenu par Amnesty International, dévoile le contraste entre la vie
paisible à Lampedusa et les tragédies qui se déroulent aux frontières de
l’Europe.
Samuele
a 12 ans et vit sur une île au milieu de la mer. Il va à l'école, adore
jouer avec sa fronde. Il aime les jeux terrestres, même si, tout,
autour de lui, parle de la mer et des hommes, des femmes, des enfants
qui tentent de la traverser pour rejoindre son île. Car il n'est pas sur
une île comme les autres. Cette île s'appelle Lampedusa et c'est une
frontière hautement symbolique de l'Europe, traversée ces 20 dernières
années par des milliers de personnes en quête de liberté.
Une île à la vie paisible, mais témoin des tragédies humaines en mer
L’histoire
de « Fuocoammare, par-delà Lampedusa », c’est la nôtre, c’est celle de
l’Europe, de cette Europe recroquevillée sur elle-même, qui ne sait pas,
qui ne veut pas savoir ce qui se passe à ses frontières.
Avec 3 600 morts en mer Méditerranée sur un total de 5400 décès sur les
routes de l’exil partout dans le monde, les côtes européennes sont les
plus dangereuses du monde.
Et qui sont ces personnes dont les corps, rêves et espoirs reposent au
fond de la mer ?
Si
certaines cherchent une vie meilleure, la grande majorité fuit pour
sauver leur vie. En 2015, 80% d’entre elles viennent de Syrie,
d’Erythrée, d’Irak ou d’Afghanistan. Elles fuient la guerre, des
dictatures effroyables, des atrocités innommables. Ces personnes doivent
risquer leur vie en mer parce qu’ils n’ont pas d’autre choix. Les pays
européens ne leur laisse pas d’autre choix.
Pourtant,
des voies sûres pour protéger les réfugiés existent mais trop peu
d’entre eux peuvent en bénéficier. La réinstallation des plus
vulnérables, l’admission humanitaire, la réunification familiale, les
visas d’étudiants, ce n’est pas le choix des mesures à prendre qui
manque, mais la volonté politique.
L’inaction vs l’engagement
Mais
l’histoire de « Fuocoammare, par-delà Lampedusa » est également
l’histoire de ceux qui s’engagent pour porter secours aux réfugiés et
aux migrants en mer, malgré le repli sur soi prôné par les dirigeants
européens : un médecin qui travaille sans relâche pour soigner les
personnes secourues ainsi que les habitants de l’île ou encore la marine
italienne qui a assumé la responsabilité de sauver des personnes alors
que les autres pays européens trainaient des pieds.
Les
pays européens ont fini par déployer une opération de sauvetage en mer,
mais plus de 3 000 personnes ont perdu leur vie à nos côtes cette
année. Faute de voies pour se rejoindre un pays qui peut réellement les
accueillir, les personnes n’ont pas d’autre choix que de risquer leur
vie.
Vous êtes intéressés par un engagement dans une association de défense des Droits Humains ? Tout simplement curieux de mieux connaître le fonctionnement de notre groupe ? N'hésitez pas à nous rejoindre lors d'une de ces réunions. Si vous nous prévenez un peu avant, nous pourrons mieux vous accueillir.
contactez le : le 07 49 08 10 18 Toutes les réunions suivantes se tiendront au localde l'association à 19h00
Espace Vincent AURIOL MAISON DES SYNDICATS 4 rue du Général CHÉRIN 88100 Saint-Dié-des-Vosges
Réunions 2024/2025 :
Voici les dates fixées – 19h les jeudis
• 19 septembre • 17 octobre • 21 novembre • 19 décembre • 16 janvier 2025 AG • 13 février 2025 • 20 mars 2025 • 24 avril 2025 • 22 mai 2025 • 19 juin 2025