BONNE NOUVELLE ! À partir de décembre vous avez été nombreux à signer pour MOSES AKATUGBA dans le cadre des "10 jours pour signer" À St Dié vous êtes venus nous rejoindre sur notre stand rue Thiers. Nous sommes heureux de vous annoncer que MOSES a été gracié. VOTRE SIGNATURE A DU POUVOIR !
Arrêté à 16 ans, Moses a été torturé par la police nigériane
puis condamné à mort sur la base de ses « aveux » obtenus sous la
contrainte. Le gouverneur vient publiquement de le gracier et l'a
annoncé sur sa page Facebook.
VENEZ NOUS RETROUVER SUR NOTRE STAND. Angle du Quai Leclerc et de la Rue Thiers (Crédit Mutuel) Samedi 16 mai 2015 de 14 à 17 h
Vous pourrez vous informer sur le sujet, signer la pétition à destination des autorités françaises.
Depuis le début du conflit en 2011, plus de 200 000 personnes ont été tuées en Syrie. 11 millions de personnes, soit la moitié de la population syrienne, ont été forcées de fuir pour échapper aux violences. Quatre millions d'entre elles ont quitté le pays. Quelques refugiés ont pu obtenir un visa pour se rendre dans un pays d’accueil. D’autres sont forcés d’emprunter des routes dangereuses pour tenter de rejoindre un territoire où ils pourront demander l’asile. Parmi eux se trouvent les survivants et les disparus de la Méditerranée. Mais, pour l’immense majorité, les pays voisins de la Syrie, le Liban, la Jordanie, la Turquie, l’Egypte et l’Irak sont leur seul refuge.
UN MANQUE FLAGRANT DE SOLIDARITÉ INTERNATIONALE Malgré la gravité et l’urgence de la situation, la réponse des États est loind’être à la hauteur. En 2015, à peine 2% des personnes réfugiées dans les pays voisins de la Syrie ont obtenu la promesse d’être réinstallées dans un nouveau pays d’accueil. Les États du Golfe n’ont fait aucune promesse d'accueil, tout comme le Japon ou encore la Corée du Sud. En Europe, si l’Allemagne a décidé d’accueillir 30 000 personnes, les 27 autres États membres n’ont promis que 6 305 places d’accueil. Au début de l'année 2015, la France avait réinstallé 506 réfugiés de Syrie. 500 nouvelles personnes devraient bénéficier de la procédure, mais ce nombre est largement insuffisant au regard des capacités réelles du pays. Dans le même temps, les possibilités d’accueil des pays voisins de la Syrie sont largement dépassées. Les frontières se ferment, empêchant les civils de fuir les violences. Le Liban, premier pays d’accueil, a décidé de leur imposer des visas d’entrée, difficiles à obtenir. La solidarité, une obligation internationale En cas de crise, les États doivent coopérer entre eux. Cette obligation découle de la Charte et des résolutions des Nations unies. La réinstallation est l'un des moyens à disposition des États pour protéger les réfugiés et pour aider les pays qui en accueillent le plus grand nombre. Porter assistance aux réfugiés n'est donc pas une option mais une obligation. Une obligation qui offre à ceux qui ont tout perdu la possibilité de commencer une nouvelle vie et la chance de vivre en paix.
Nous appelons les États à : • accueillir les 380 000 personnes identifiées comme vulnérables par les Nations unies, d’ici fin 2016 : - les pays de l’Union européenne : Royaume-Uni, France, Espagne, Pays-Bas… - certains pays d’Amérique : Canada, États-Unis et Uruguay - les pays du Conseil de coopération du Golfe, notamment le Koweït et les Émirats arabes unis - et tous les pays qui ont les moyens et les ressources pour réinstaller des réfugiés.
Nous demandons également aux États de : • continuer d’accueillir et de protéger les réfugiés de Syrie qui se présentent spontanément à leurs frontières, • faciliter les possibilités d’accès légal et sécurisé à leur territoire pour les personnes fuyant la Syrie.
Nous demandons au gouvernement français : • de s'engager à réinstaller des réfugiés de Syrie pour un nombre bien supérieur aux 500 personnes que la France prévoit d'accueillir.
Qu'on se le dise : Vous êtes cordialement invités à la soirée projection/débat sur la thématique "MULTINATIONALES RESPONSABLES ET COUPABLES ?" le vendredi 22 mai 2015 au CONSEIL GÉNÉRAL de Meurthe et Moselle - à 20h30 - Entrée libre.
Après les catastrophes de Bhopal en Inde, du Rana Plaza au Bangladesh,
de la pollution pétrolière de Shell au Nigéria, qu’en est-il aujourd’hui
de la responsabilité sociale et environnementale des entreprises
multinationales, de leurs filiales et sous-traitants à l’étranger ?
Une loi imposant le devoir de vigilance de ces entreprises a été votée
fin mars 2015. Que dit-elle au juste ? Permet-elle enfin d’éviter ces
drames dans les pays du Sud et assure-t-elle une indemnisation des
victimes ? Pour nous citoyens consommateurs, n’est-ce pas le moment
de repenser notre quotidien et l’inscrire dans une démarche plus
responsable et respectueuse de ces travailleurs et travailleuses du Sud ? Les intervenants Dominique POTIER, député de Meurthe et Moselle, Membre de la commission économique de l’Assemblée Nationale Jacques VIERS, membre de la commission « Acteurs économiques, pauvreté et droits humains » à Amnesty International Lison REHBINDER, chargée de mission « Justice fiscale et Responsabilité sociale des entreprises » à Peuples Solidaires. Le film :
« Les damnés du low cost » dénonce les conditions de travail dans les
usines textiles au Bangladesh suite à l’effondrement du Rana Plaza qui a
tué 1 138 ouvrières. Il révèle la réalité d’un système où le seul but
des multinationales est de maximiser leurs profits. Le documentaire
montre également la mobilisation qui s’organise en France grâce au
travail des ONG. Grâce à la ténacité de certains députés, une
proposition de loi sur la responsabilité des entreprises vis-à-vis de
leurs filiales et sous-traitants est présentée à l’Assemblée Nationale.
Vous êtes intéressés par un engagement dans une association de défense des Droits Humains ? Tout simplement curieux de mieux connaître le fonctionnement de notre groupe ? N'hésitez pas à nous rejoindre lors d'une de ces réunions. Si vous nous prévenez un peu avant, nous pourrons mieux vous accueillir.
contactez le : le 07 49 08 10 18 Toutes les réunions suivantes se tiendront au localde l'association à 19h00
Espace Vincent AURIOL MAISON DES SYNDICATS 4 rue du Général CHÉRIN 88100 Saint-Dié-des-Vosges
Réunions 2024/2025 :
Voici les dates fixées – 19h les jeudis
• 19 septembre • 17 octobre • 21 novembre • 19 décembre • 16 janvier 2025 AG • 13 février 2025 • 20 mars 2025 • 24 avril 2025 • 22 mai 2025 • 19 juin 2025