Présentation d’Amnesty International aux centres sociaux Kellermann et Saint Roch :
Trois membres de groupe Saint Dié ont présenté Amnesty auprès des femmes des groupes "Bulles d’air" à Kellerman et "Recréa’zen" à Saint Roch.
Les problèmes de violence faites aux femmes à travers le monde ont été évoqués et chacune des participantes, très touchée, a envoyé une carte de soutien émouvante à deux femmes :
- Liu Ping en Chine emprisonnée et torturée pour avoir organisé une manifestation dénonçant la corruption.
- Paraskevi Kokkoni en Grèce agressée et menacée en pleine rue parce qu’elle est Rom.
À ne pas manquer : Samedi 21 mars 2015 - Dimanche 22 mars 2015 20h30 - Vendredi 27 mars 2015 20h30
Adhérent et moins de 24 ans : 4,50 € Non adhérent : 6,00 €
Cinéma Excelsior Espace Sadoul - Saint-Dié-des-Vosges
Les personnages phares de ce
conte-documentaire, qui sort sur grand écran le 11 février, sont deux
enfants roms mais avant tout des enfants de partout, en quête de repères
dans un contexte familial et social particulièrement chaotique. Tout
le long du film, nous sommes dans la tête de Spartacus et Cassandra,
nous suivons leur regard et leur perception des choses et des gens, nous
ressentons leur force et leurs moments de doute face à des choix
difficiles.
Le réalisateur Ioanis Nuguet a passé presque trois ans dans des campements roms
en Seine Saint Denis avant de rencontrer Spartacus et Cassandra, un
frère et une sœur de 13 et 10 ans, qui l’ont persuadé de faire un
documentaire sur eux. Il
faut que tu fasses un film sur nous, il faut que tu fasses un film sur
moi et ma soeur, laisse tomber ce que tu es en train de faire. Ce qui
est intéressant, c’est nous. » Deux semaines après on commençait le
tournage de Spartacus & Cassandra. » Ioanis Nuguet
UN CONTE-DOCUMENTAIRE RÉALISTE ET POÉTIQUE
Ce conte-documentaire, comme aime à le nommer le réalisateur, retrace
leur parcours en France du jour où ils ont croisé la route de Camille,
une jeune femme trapéziste qui décide de leur tendre la main et finit
par devenir une « bonne fée, une marraine » pour les deux enfants roms
dont les parents ne parviennent plus à faire face. Le réalisateur fait
de ces 3 personnages, Spartacus, Cassandra et Camille, un portrait à la
fois réaliste et poétique. Il pose sur eux un regard pudique et tendre
et nous fait vivre avec eux ce parcours douloureux qui les conduira à
transformer de façon radicale le cours de leur vie. Ce film est une métaphore de ce que nos sociétés contemporaines
devraient faire à l’égard des populations vulnérables : accueillir,
soutenir, accompagner plutôt que de condamner ces populations, roms pour
la plupart, à errer de campements en campements, abandonnées à une
précarité d’un autre temps.
Spartacus & Cassandra nous interpellent,
égratignent notre bonne conscience, interrogent…Peut-on fermer les yeux
sur les conséquences de l’extrême précarité sur les enfants ? Doit-on
juger leurs parents qui sont abîmés par une vie d’errance et pour
lesquelles la famille reste le dernier rempart à la solitude d’une vie
dans la rue ? Comment donner à ces enfants la confiance dans l’avenir ?
UN FILM SOUTENU PAR AMNESTY INTERNATIONAL
Si Amnesty International a choisi de soutenir ce film c’est parce
qu’il montre une réalité sociale plus complexe que l’on croit. Jamais
misérabiliste ni complaisant, c’est une belle leçon de solidarité et de
courage qui nous laisse entrevoir ce que peuvent ressentir des enfants à
la recherche de repères et de liens de confiance dans une société qui
les tolèrent sans jamais parvenir à les intégrer tout à fait. Ces
enfants, pour être roms, n'en sont pas moins des enfants de partout qui
ont besoin de temps et d’affection pour avancer et retrouver une forme
de sérénité. Ce film est aussi un pied de nez aux idées reçues car ces deux
enfants qui ont grandi dans les bidonvilles, font preuve d’une maturité
stupéfiante. Tous deux poursuivent aujourd’hui leurs études et
multiplient les interventions lors des projections-débats pour témoigner
et partager leur joie de vivre mais aussi leur révolte vis-à-vis d’une
société qui parfois exclue et discrimine ceux qu’on appelle « les Roms
».
Des débats seront organisés dans de nombreuses villes en France en
présence des protagonistes du film et de représentants d’Amnesty
International, n’hésitez pas à vous y rendre, vous en sortirez le « cœur
serré et pourtant joyeux » et avec un regard neuf sur l’enfance.
Nos amis de l'association Art et Essai ont accepté ce partenariat pour la projection du film HOPE SOUTENU PAR LA CAMPAGNE d'AMNESTY#SOS EUROPE
Il sera projeté à 20h30
vendredi 6 mars
lundi 9 mars
jeudi 12 mars
dimanche 15 mars
et le samedi 14 mars à 18 h
Cinéma Excelsior / Espace Georges Sadoul 26-28 quai Carnot 88100 SAINT-DIÉ-DES-VOSGES Adhérent et moins de 24 ans : 4,50 € Non adhérent : 6,00 €
Nous mettrons à votre disposition, sur place, une pétition adressée au Président de la République afin qu'il fasse le nécessaire pour protéger les migrants avant les frontières !
"Hope" emporte le spectateur dans le
quotidien de deux migrants. Leur destin se noue au cours de leur exil.
Ce film donne un aperçu d’une réalité qu’affrontent tous les jours des
hommes, des femmes et des enfants. Sans cliché et sans retenue, mais
avec respect, Hope nous fait voyager jusqu’aux portes de l’Europe, au
Maroc, face à Ceuta et Melilla.
UNE TERRIBLE RÉALITÉ JOUÉE PAR CEUX QUI LA VIVENT
Il
n’y a pas un seul comédien professionnel dans le film. Tous les
interprètes sont des vrais migrants qui n’avaient jamais joué. [..] Je
crois que c’était le seul [choix] possible ». Boris LojkineRéalisateur de Hope. Le choix de Boris Lojkine permet une plongée dans le quotidien le
plus concret de cette migration dont l’horizon se résume aux barrières
des deux enclaves espagnoles au Maroc. Une réalité dure. Hope nous montre alors sur cette route jusque aux portes de l’Europe,
les dangers encourus, le poids des communautés reconstituées dans des «
ghettos », ces lieux de vie où les migrants attendent de pouvoir
poursuivre leur voyage plus loin pour aller au plus près de l’Europe.
Des communautés aux règles violentes, intrusives, portant atteinte à la
dignité des personnes et notamment des femmes. Mais Hope ne réduit pas cette réalité de la migration à sa violence.
Au contraire, ce film laisse toute sa place à l’humanité de ceux qui la
vivent et au combat quotidien qu’ils livrent pour la préserver et la
protéger, pour pouvoir poursuivre leur route, atteindre leur but.
Demandez à François Hollande de protéger les vies et les droits aux frontières européennes.. SIGNEZ
HOPE : UN FILM SOUTENU PAR LA CAMPAGNE #SOS EUROPE
Rejoindre l’Europe est devenu un chemin difficile et même dangereux.
Les obstacles qui se dressent sur celui-ci sont le résultat d’une
politique européenne de surveillance des frontières plus restrictive et
plus organisée. Au motif de lutter contre une immigration jugée indésirable, les États européens ont dressé les murs d’une forteresse, aux portes de
l’Europe et parfois même en amont, en coopérant avec des États voisins
de leurs frontières. Nombreuses sont les personnes qui n’atteindront
jamais les côtes européennes. Elles resteront bloquées dans des États de transit faute de moyens pour achever leur exil.
Face à des frontières devenues quasi-infranchissables, les tentatives
de passage deviennent de plus en plus désespérées, de plus en plus
dangereuses et elles alimentent directement le trafic de migrant et la
traite des êtres humains. Pris au piège des frontières, les migrants et les réfugiés sont
exposés à de graves atteintes aux droits humains, de la violence des
ghettos à la maltraitance des réseaux en passant par la connivence et la
violence des autorités des États concernés. Un piège que Hope révèle dans toute sa noirceur mais également avec sa part d’humanité. La situation que vivent les protagonistes de Hope n’est pas isolée.
C’est un cruel exemple des conséquences de la politique des États, dont
ceux de l’Union européenne, de voir les migrants comme une menace, les
migrations comme un motif de combat.
Un franc succès pour cette 14ème édition qui se déroulait
pour la quatrième année à l'Espace Nicolas COPERNIC les samedi 28 février et dimanche 1er mars 2015 où nous avons pu
présenter près de 20000 livres sur les 120 tables qui étaient
disposées dans cette grande et lumineuse salle.
1 :Une belle collecte en qualité et en quantité qui s'est déroulée depuis cet automne à notre local de l'Espace Vincent Auriol. Merci pour votre générosité !
2 : Une très bonne fréquentation bien répartie sur les deux jours.
3 : Des sympathisants venus en nombre
nous aider à trier, à transporter les 750 caisses de livres ... Merci
aux associations qui relaient notre appel (Club Vosgien, Musique
Espérance, La Poulie, Artisans du Monde, Les enfants de Tchernobyl, Soleil autisme, etc.)
4 : Vous avez acheté plus de 200 caisses de livres ... pour une recetteimportante qui va nous permettre de financer notre cause en toute indépendance (Cotisation à la Section française d'Amnesty) et soutenir des associations amies :
6 : Des relais de communication bien
rodés : presse locale : (Vosges Matin, Echo des Vosges) et municipale
(Notre St Dié des Vosges, Le Trois minutes, Facebook de la Ville) , affichage,
internet (Saint Dié Info) , réseaux sociaux , les radios locales (RCM, Radio cristal,
France bleue Sud lorraine, Radio Guémozot, etc.), notre réseau de sympathisants.
LA VENTE EN IMAGES
Samedi matin 9h la salle est prête après une semaine de préparatifs.
Un photographe photographiant ses photographies... Thierry Gachon et son exposition "Tchnernobyl 25 ans après" pour les Enfants de Tchnernobyl.
Les amateurs ne se font pas attendre, fidèles au rendez-vous dès l'ouverture.
Affluence des beaux jours !
De bonnes affaires et une bonne action pour toutes et tous.
Dimanche soir, c'est le temps du rangement par une équipe d'une trentaine de personnes.
Beaucoup de caisses vides... c'est bon signe !
La Salle Copernic de nouveau prête à accueillir un autre événement.
Vous êtes intéressés par un engagement dans une association de défense des Droits Humains ? Tout simplement curieux de mieux connaître le fonctionnement de notre groupe ? N'hésitez pas à nous rejoindre lors d'une de ces réunions. Si vous nous prévenez un peu avant, nous pourrons mieux vous accueillir.
contactez le : le 07 49 08 10 18 Toutes les réunions suivantes se tiendront au localde l'association à 19h00
Espace Vincent AURIOL MAISON DES SYNDICATS 4 rue du Général CHÉRIN 88100 Saint-Dié-des-Vosges
Réunions 2024/2025 :
Voici les dates fixées – 19h les jeudis
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